Wednesday, October 23, 2024

Swift, UBS, Euroclear : L’oracle Chainlink s’associe aux géants de la finance traditionnelle

 
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C'est parti !

Depuis son lancement en 2019, Chainlink a su devenir un mastodonte de l'écosystème crypto. En effet, le protocole propose un service d'oracles, qui permettent aux smarts contracts d'obtenir des données off-chain.

Désormais, Chainlink souhaite s'attaquer à la finance traditionnelle en apportant son expertise à des entreprises majeures. Dans un rapport publié le 21 octobre, l'entreprise annonce ainsi des partenariats de taille. Nous y retrouvons des entreprises telles que Euroclear, Swift, UBS ou encore Franklin Templeton pour ne citer qu'elles.

À travers cette alliance, Chainlink et ses associées souhaitent trouver une solution au « manque de données normalisées en temps réel dans des marchés fragmentés comme l'Europe ».

La SEC (Securities and Exchange Commission) des États-Unis et son président Gary Gensler ne cessent de harceler judiciairement le secteur des crypto-actifs. Que ce soit au sein de la cryptosphère ou pour de plus en plus d'élus du Congrès américain, cette guerre anti-innovation doit cesser au plus vite.

Lors de sa participation à la Bitcoin Conference 2024 de Nashville en juillet dernier, le 45e président US Donald Trump a déjà promis de licencier Gary Gensler dès le premier jour de son nouveau mandat, s'il est réélu.

Mais cette fois, c'est Kama Harris, la candidate Démocrate et pourtant actuelle vice-présidente de l'administration Biden en place, qui envisage sérieusement de remplacer le bien trop vindicatif président de la SEC. Deux candidats potentiels, Chris Brummer ou Erica Williams, pourraient ainsi prendre la place de Gary Gensler.
Cryptomonnaies anonymes : les autorités japonaises ont-elles cassé le Monero (XMR) ?

L'affaire a été rendue publique par le média japonais Nikkei. Et il est question d'une fraude électronique massive estimée à 100 millions de yens, soit environ 600 000 euros. Une opération au centre laquelle se trouve l'utilisation de données de cartes de crédits volées lors d'opérations de phishing.

Mais la véritable information est ailleurs. Car les services de police en charge de cette affaire expliquent que les acteurs de cette fraude ont tenté de blanchir leurs fonds à l'aide de la cryptomonnaie Monero (XMR). Et comment cela aurait conduit à l'identification du chef de ce réseau.

Il n'en fallait pas plus pour réveiller le spectre de la possible violation du code de confidentialité de la cryptomonnaie Monero. Pourtant, aucune information disponible pour le moment ne permet de l'affirmer avec certitude. En effet, comme l'explique le compte X Noé G, les transactions ont certes été « analysées », mais cela peut être lié à de nombreuses autres raisons. Comme par exemple la découverte des clés privées lors d'une perquisition. Ou encore la divulgation de l'adresse sur une plateforme centralisée (CEX).

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