| | | | Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode
de 24h sur la planète crypto !
Comme chaque jour de la semaine, retrouvez les 3 dernières actus les plus tendances parues sur le journalducoin.com |
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| Bitcoin rebondit : la MM50 a fait son office. La semaine s'annonce intéressante !
Lucas (mon Telegram) |
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Initialement évoqués par le compte Wicked (@w_s_bitcoin) sur X, les éléments relatés ici resteront des suppositions, car le principal intéressé, Satoshi Nakamoto, n'a plus donné de signe de vie depuis avril 2011. Mais les données sont troublantes.
Dans les premiers temps suivant le lancement du réseau Bitcoin, le 3 janvier 2009, Satoshi Nakamoto était un des principaux participants au hashrate (c'est-à-dire à la puissance de calcul) présent sur le réseau blockchain. Et il semblerait qu'il ait pu en profiter pour mener un essai d'attaque des 51 % sur Bitcoin en mai 2009. Cette dernière consiste à fournir plus de 51 % du hashrate total sur le réseau, pour pouvoir mener des réorganisations de blocs de transactions, ou « reorg ».
Comme le précise Wicked sur ce sujet, il faut bien signaler ici que « les bitcoins n'avaient aucune valeur en [mai] 2009, de sorte que l'attaque [des 51 %] était un stress test, et ne visait pas un gain financier ».
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| | | Une plateforme crypto unifiée pour les BRICS ? La contre-attaque de la Russie contre le dollar
Les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) souhaitent faire concurrence à l'hégémonie du dollar américain. Face à la montée croissante des tensions économiques, les BRICS se tournent désormais vers la blockchain.
Ainsi, nous venons d'apprendre que le vice-président de la Douma d'État Alexander Babakov a proposé de créer une bourse unifiée des BRICS qui utiliserait la blockchain et les cryptomonnaies pour les règlements à l'international.
Cette plateforme serait selon Babakov « la clé de la souveraineté économique et de l'indépendance de nos pays ». Évidemment, ce projet permettrait également de contourner les sanctions économiques qui frappent certains membres comme la Russie. Bien que la plateforme permettrait aux membres d'effectuer des paiements dans leurs monnaies nationales, les BRICS souhaitent aussi développer des mécanismes de règlement basés sur la blockchain et sur une « monnaie virtuelle unique ».
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En août 2023, le géant des paiements en ligne PayPal a dévoilé son propre stablecoin, le PYUSD. Depuis, celui-ci a bien évolué et s'établit désormais comme le septième plus gros stablecoin de l'écosystème avec 700 millions de dollars de marketcap.
PayPal a utilisé pour la première fois son stablecoin pour régler une transaction commerciale. En pratique, PayPal a réglé une facture de Ernst & Young le 23 septembre dernier en utilisant le PYUSD. Sous le capot, PayPal s'est reposé sur la plateforme SAP SE pour réaliser la transaction.
L'objectif de la manœuvre était de démontrer les avantages des cryptomonnaies dans le cadre de certaines transactions. En effet, les transactions entre business, et notamment les transactions internationales sont habituellement longues, coûteuses et dépendre d'un tiers. Ce qui n'est pas le cas des transactions sur blockchain.
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