Depuis 2020, parce que c'était vital, France-Soir s'est fixé un objectif clair, fouiller, questionner, exposer ce que certains s'acharnent à dissimuler.
Nous sommes allés là où personne ne s'aventure, là où le silence arrange trop de monde. Résultat : dossiers sensibles, analyses sans concession, alertes sur les conflits d'intérêt et les dérives de pouvoir.
Pour cela, on a tenté de nous réduire au silence. Censures, déréférencements, pressions tous azimuts. Mais nous tenons toujours, et la vérité aussi.
Le constat est bien là, nos sociétés glissent vers un modèle où le contrôle l'emporte sur la liberté, où la censure progresse sous couvert de "sécurité", où les contre-pouvoirs sont affaiblis. De la surveillance numérique à la gestion de crise, des décisions opaques aux restrictions d'expression, une même tendance se dessine : réduire le débat public au strict minimum.
Aujourd'hui, la réalité n'est plus contestable : le pluralisme est fragilisé, les voix dissonantes sont pénalisées, la société civile est tenue à distance.
Les faits sont visibles : outils de modération devenus instruments de censure, algorithmes rendant invisibles certains contenus, soupçons de collusions entre institutions et grandes plateformes, multiplication de dispositifs intrusifs présentés comme "nécessaires".
Jour après jour, nos articles révèlent ce que beaucoup s'acharnent à masquer : un pouvoir centralisé autour de cercles restreints, où conseillers et « mignons » de la République semblent évoluer dans une zone grise à l'abri du regard public ; des décisions engageant des centaines de milliards — comme le bras de fer autour des actifs russes gelés — prises dans un brouillard technocratique presque total ; des signaux d'alerte sur la gestion sanitaire enterrés ou minimisés ; une FDA contrainte de s'expliquer sur des courriels sensibles ; des médias sommés de rentrer dans le rang ; des élus européens faisant face à des distorsions médiatiques flagrantes ; des plateformes américaines assumant ouvertement des logiques de censure ; et, jusqu'à l'Élysée, des communications institutionnelles si surréalistes qu'elles finissent par caricaturer elles-mêmes les dérives qu'elles nient.
Tout est documenté. Tout est vérifiable. Et c'est pour ça que ça dérange.
Pour rendre ces sujets complexes accessibles, nous avons lancé un nouveau format vidéo didactique : court, clair, percutant. Chaque vidéo explique un concept, un document sensible, un mécanisme institutionnel en quelques minutes. Vulgariser l'essentiel. Donner à chacun les clés pour comprendre.
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